Comparatif des matériaux de construction pour la maison

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Quels matériaux choisir pour sa maison?

Cette interrogation se pose forcément lorsqu’on décide de faire construire. Cependant, les choix sont nombreux et la question de l’arbitrage reste difficile. Matériaux traditionnels, ossatures bois ou acier, solutions monomur, quels sont les avantages et les inconvénients de chaque mode constructif? Cet article propose de comparer les matériaux de construction pour vous guider vers un choix cohérent.

  • Les maisons traditionnelles: parpaings et briques
  • Les maisons à ossature
  • Les maisons monomur
  • Comparer des matériaux: Analyse
  • Conclusion: Quel matériau choisir pour sa maison?

Les maisons traditionnelles: parpaings et briques
Le parpaing creux

Avantages du parpaing creux

  • Résistance mécanique élevée.
  • Masse volumique élevée : autour de 1900kg/m3. Forte inertie thermique dans le cas d’une isolation par l’extérieur (généralement en polystyrène qui ne craint pas l’humidité). Intéressant pour le confort d’été.
  • Technique de pose maîtrisée par tous les artisans.
  • Très bonne résistance au feu: incombustible.
  • Ecobilan plutôt favorable : le parpaing creux est fabriqué à partir de de ciment, de sable, de gravier et gravillons. Ces matériaux ne sont pas renouvelables, mais ils sont présents en grande quantité sur notre planète. Son énergie grise (l’énergie nécessaire depuis sa fabrication à son recyclage), de l’ordre de 350 Kwh/m3, est bien inférieure à celle de la brique classique par exemple.

Inconvénients du parpaing creux

  • Résistance thermique négligeable (R= 0.23 m².K/W pour un parpaing de 20 cm d’épaisseur). De ce fait, une isolation complémentaire est indispensable.
  • Faible inertie thermique dans le cas d’une isolation par l’intérieur.
  • Recyclage : Une maçonnerie collée ou jointoyée ou un enduit collé chimiquement sur une maçonnerie rend la valorisation des déchets difficile. Les parpaings creux peuvent néanmoins être réutilisés pour fabriquer du nouveau béton.

La brique alvéolaire

Avantages de la brique alvéolaire

  • Résistance mécanique élevée.
  • Masse volumique élevée : autour de 2000 kg/m3. Forte inertie thermique dans le cas d’une isolation par l’extérieur (généralement en polystyrène qui ne craint pas l’humidité). Intéressant pour le confort d’été.
  • Ne craint pas l’humidité, bonne capacité à réguler l’hygrométrie.
  • Technique de pose maîtrisée par tous les artisans.
  • Très bonne résistance au feu: incombustible.

Inconvénients de la brique alvéolaire

  • Résistance thermique faible (R= 1.15 m².K/W pour une brique de 20 cm d’épaisseur). De ce fait, une isolation complémentaire est indispensable.
  • Faible inertie dans le cas d’une isolation par l’intérieur.
  • Ecobilan plutôt défavorable : la brique creuse est fabriquée à partir de terre argileuse crue cuite au four. La cuisson de la brique nécessite beaucoup d’énergie, son énergie grise est donc assez importante de l’ordre de 700 Kwh/m3.
  • Recyclage : Une maçonnerie jointoyée ou un enduit collé chimiquement sur une maçonnerie rend la valorisation des déchets difficile. (Il faut séparer le liant chimique du matériau). Les briques peuvent néanmoins être réutilisées pour fabriquer de nouvelles briques ou des matériaux de comblements.

Les maisons à ossature
L’ossature bois

Avantages de l’ossature bois

  • Préfabrication en atelier (les panneaux qui composent les murs sont fabriqués an atelier puis transportés et assemblés sur le chantier). Elle apporte de nombreux avantages: confort de travail à l’abri des intempéries, travail au sol et non en l’air = meilleure maîtrise de la qualité des réalisations, meilleure gestion des déchets, meilleure gestion des délais et des coordinations, assemblage rapide sur le chantier.
  • Ecobilan le plus favorable. Matière première saine et renouvelable (choisir du bois labellisé FSC ou PEFC). Structure légère, donc peu de consommations de matières premières. L’assemblage mécanique des différents éléments de construction (avec des vis par exemple) permet un recyclage plus aisé en fin de vie. Le bois est ensuite réutilisé ou transformé en combustible.
  • Isolation: La structure permet de “nicher” des épaisseurs d’isolants importantes.
  • Aussi, cette isolation répartie entre les montants limite beaucoup les ponts thermiques.
  • Agrandissement: La structure bois permet des remodelages plus faciles, il est donc plus aisé d’agrandir ou de modifier la structure de la maison par la suite.
  • Excellente résistance au feu: Contrairement aux idées reçues, le bois brûle lentement et se consume de manière régulière. Ainsi, le bois assure ses fonctions mécaniques et conserve la stabilité de la maison.

Inconvénients de l’ossature bois

  • Econome en matières premières, mais structure peu massive. Il faut donc créer de l’inertie thermique (de la masse) à l’intérieur de la maison avec une épaisseur de dalle renforcée, ou des cloisons lourdes. De plus, des protections solaires sont indispensables et doivent être étudiées dès la phase de conception. La gestion du confort d’été reste donc délicate et suppose une réflexion préalable.
  • Bardage : Si vous optez pour un bardage. Il y a 2 solutions: laisser patiner les lames de bois (elles grisent) ou passer un saturateur de couleur afin d’empêcher la couleur de griser. La tendance est plutôt au vieillissement naturel. En effet, le changement de couleur des lames ne compromet en rien leur efficacité, les lames gardent les mêmes propriétés mécaniques. A l’inverse, utilisez un saturateur demande de l’entretien tous les 2-3 ans et reste assez contradictoire (mettre des produits chimiques sur une maison avec un écobilan très favorable).
  • Menuiseries bois: Pour les menuiseries fortement exposées à l’extérieur, il convient de les lasurer régulièrement. (2-3 ans)

L’ossature acier

Avantages de l’ossature acier

  • Préfabrication en atelier (les panneaux qui composent les murs sont fabriqués an atelier puis transportés et assemblés sur le chantier). Elle apporte de nombreux avantages: confort de travail à l’abri des intempéries, travail au sol et non en l’air = meilleure maîtrise de la qualité des réalisations, meilleure gestion des déchets, meilleure gestion des délais et des coordinations, assemblage rapide sur le chantier.
  • Isolation: La structure permet de “nicher” des épaisseurs d’isolants importantes.
  • Aussi, cette isolation répartie entre les montants limite beaucoup les ponts thermiques.
  • Agrandissement: La structure acier permet des remodelages plus faciles, il est donc plus aisé d’agrandir ou de modifier la structure de la maison par la suite.
  • Recyclage : l’acier est recyclable à l’infini pour refabriquer de l’acier. L’assemblage mécanique (avec des vis par exemple) des différents éléments de construction permet un recyclage plus aisé en fin de vie.

Inconvénients de l’ossature acier

  • Ecobilan qui reste défavorable. L’acier est très gourmand en énergie grise, celle-ci est 10 fois supérieure au bois.
  • Structure peu massive. Il faut donc créer de l’inertie (de la masse) à l’intérieur de la maison avec une épaisseur de dalle renforcée, ou des cloisons lourdes. De plus, des protections solaires sont indispensables et doivent être étudiées dès la phase de conception. La gestion du confort d’été reste donc délicate et suppose une réflexion préalable.
  • Résistance au feu: L’acier, bien qu’incombustible, perd ses qualités mécaniques sous très hautes températures (incendie) et ne garantit plus la solidité de la structure. Des solutions existent pour limiter ce phénomène (surdimensionnement des structures porteuses, peinture ignifuge) mais ce point doit être abordé avec attention dans le projet de construction. Cela dit, des protections de prévention sont obligatoires et permettent de prévenir les usagers d’un incendie (détecteurs de fumée).

Attention: certains constructeurs de maison en acier vendent des plans de maisons “type” et refusent, pour des raisons économiques, de modifier la structure de la maison et notamment la place des ouvertures (qui ne tiennent pas compte de l’orientation du terrain). Dans ce cas, il faut absolument privilégier une architecture bioclimatique quitte à trouver un autre professionnel.

Les maisons monomur

Les maisons “monomur” partent d’un principe simple : c’est le matériau porteur qui, en plus d’apporter la solidité du bâti, doit jouer le rôle d’isolant. On se passe alors d’une isolation complémentaire coûteuse. Pour qu’une solution monomur soit pertinente, il faut donc qu’elle se suffise à elle-même. Inutile d’investir des matériaux porteurs isolants, si c’est pour rajouter une isolation complémentaire par la suite (aucune rentabilité).
Les maisons en bois massifs

Avantages d’une maison en bois massif

  • Adapté à l’auto-construction: l’emboitement des madriers de bois peut se faire par les particuliers, généralement avec le soutien logistique du vendeur de la maison en kit.
  • Ecobilan favorable. Matière première saine et renouvelable (choisir du bois labellisé FSC ou PEFC). Par contre, les madriers de bois demandent une plus grande consommation de matières premières (maison en bois plein), l’écobilan est donc moins favorable que l’ossature bois, mais meilleur que les matériaux traditionnels.
  • L’assemblage mécanique (avec des vis par exemple) des différents éléments de construction permet un recyclage plus aisé en fin de vie. Le bois est ensuite réutilisé ou transformé en combustible.
  • Agrandissement: La structure bois permet des remodelages plus faciles, il est donc plus aisé d’agrandir ou de modifier la structure de la maison par la suite.
  • Excellente résistance au feu: Contrairement aux idées reçues, le bois brûle lentement et se consume de manière régulière. Ainsi, le bois assure ses fonctions mécaniques et conserve la stabilité de la maison.
  • Très bonne régulation de l’humidité (le bois est un régulateur naturel).
  • Bonne inertie thermique si le bois est dense.
  • Maison saine.

Inconvénients d’une maison en bois massif

Isolation: La résistance thermique du bois reste bien trop faible pour se suffire à elle-même, environ R= 1.66 m²K/W pour une épaisseur de murs de 20cm. Pour pallier au manque d’isolation, 2 solutions: ajouter une isolation complémentaire (très paradoxal dans le cas d’une solution monomur) ou augmenter l’épaisseur des madriers à 40cm par exemple. Cette deuxième solution permet d’obtenir un R d’environ 3.5 m²K/W ce qui reste un peu juste même si l’effet massif du bois et sa régulation naturelle de l’humidité, lui permettent de lisser les températures extérieures et de proposer un bon confort thermique. De plus, augmenter l’épaisseur des madriers augmente considérablement le coût de la maison d’une part et entraine une surconsommation de matières premières d’autre part. Il faut également compenser la faible isolation des murs par une isolation plus importante des combles ou du sol.
Entretien: entretien des façades extérieures tous les 5 ans environ.

Les briques monomur

Avantages de la brique monomur

  • Résistance mécanique élevée.
  • Masse volumique élevée : autour de 1500 kg/m3. Bonne inertie thermique, intéressante pour le confort d’été.
  • Ne craint pas l’humidité, bonne capacité à réguler l’hygrométrie.
  • Très bonne résistance au feu: incombustible.

Inconvénients de la brique monomur

Technique de pose assez rare, non maîtrisée par tous les artisans. De plus, les capacités réelles d’isolation dépendent fortement de la qualité de la pose et la technique des joints minces est exigeante.
Résistance thermique un peu juste même pour les blocs les plus épais (R= 4.5 m².K/W pour une brique de 50 cm d’épaisseur). De ce fait, pour respecter les normes RT 2012 (sans avoir recours à une isolation rapportée), il faut apporter un complément d’isolation au niveau du sol et des combles.
Ecobilan plutôt défavorable : la brique monomur est fabriquée à partir de terre argileuse crue cuite au four. La cuisson de la brique nécessite beaucoup d’énergie, son énergie grise est donc assez importante de l’ordre de 700 Kwh/m3.
Recyclage : Une maçonnerie jointoyée ou un enduit collé chimiquement sur une maçonnerie rend la valorisation des déchets difficile. (Il faut séparer le liant chimique du matériau). Les briques peuvent néanmoins être réutilisées pour fabriquer de nouvelles briques ou des matériaux de comblements.

Le béton cellulaire ou thermopierre ou siporex

Avantages du béton cellulaire

  • Résistance mécanique élevée.
  • Isolation: Résistance thermique correcte pour les blocs les plus épais (R= 5.5 m².K/W pour une bloc de 50 cm d’épaisseur), peut suffire pour une maison RT 2012.
  • Inertie thermique correcte : un bloc de 50cm pèse environ 20 kg, intéressante pour le confort d’été.
  • Ne craint pas l’humidité, bonne capacité à réguler l’hygrométrie.
  • Très bonne résistance au feu: incombustible
  • Ecobilan plutôt favorable : matières premières naturelles, mais non renouvelables, faible énergie grise (de l’ordre de 350 Kwh/m3.

Inconvénients du béton cellulaire

  • Technique de pose assez rare, non maîtrisée par tous les artisans. De plus, les capacités réelles d’isolation dépendent fortement de la qualité de la pose et la technique des joints minces est exigeante.
  • Comparer des matériaux: Analyse
  • Le choix des matériaux, une question finalement secondaire

Peu importe les matériaux choisis, il convient de construire des formes simples proches du carrée ou du rectangle. Cela permet d’une part de faire baisser significativement le prix de la maison et d’autre part, de limiter les matières premières utilisées dans un souci d’écologie. Une construction compacte va également de pair avec une architecture bioclimatique (la conception de la maison prend en compte la course apparente du soleil). Sans aucun surcoût, vous ferez ainsi jusqu’à 30% d’économies sur votre facture énergétique et ce, sur toute la durée de vie de votre maison. Une fois ces bases posées, vous pouvez définir quel matériau choisir et sur quels critères.
L’isolation thermique, un critère parfois mal interprété

La résistance thermique d’un matériau (sa capacité à isoler) ne doit pas toujours être un facteur déterminant, notamment dans le cas des maisons traditionnelles (parpaings, briques). Par exemple, il est d’usage de comparer la brique et le parpaing en annonçant: “la brique isole 5 fois mieux que le parpaing!”. Ce n’est pas tout à fait exact, même si cela reste vrai en valeur absolue : R (brique 20 cm) = 1,15 m².K/W et R (parpaing 20 cm) = 0.23 m².K/W. D’une part, la paroi d’une maison est composée du mur certes, mais également d’une isolation complémentaire, dont la résistante thermique est bien supérieure à celle du mur. En prenant une paroi avec 20 cm de laine de verre (R = 5 m².K/W), la paroi en briques aura une résistance thermique de 6.15 m².K/W et la paroi en parpaings aura une résistance thermique de 5.23 m².K/W, ce n’est donc pas 5 fois moins. En augmentant encore l’isolation complémentaire avec 30cm d’isolants (R=7.5 m².K/W), la résistance thermique du matériau porteur devient négligeable : R (paroi brique) = 8.65 m².K/W, R (paroi parpaing) = 7.78 m².K/W. D’autre part, il faut garder à l’esprit que les valeurs de R des matériaux porteurs sont valables uniquement si la pose est de qualité. Or, dans le cas des parpaings et des briques qui se posent avec des joints, il n’est pas rare de voir des imperfections. Pour un matériau porteur (parpaing, brique), la résistance thermique n’est donc pas toujours un critère décisif. On peut ainsi faire des maisons passives avec des parpaings pleins dont la résistance thermiques est négligeable (R = 0.11 m².K/W pour un bloc de 20 cm d’épaisseur). Par contre, la résistance thermique demeure un critère majeur à prendre en compte pour un matériau isolant (laine de verre, de roche, paille, etc.).
Le prix, un élément peu comparable matériaux isolant Comparer le prix des différents matériaux entre eux n’a pas beaucoup de sens… En effet, le choix d’un mode constructif entraine dans sa suite de nombreux autres choix (finitions, mode de chauffages) dont les coûts sont variables. Par exemple, le choix d’une ossature bois s’accompagne souvent d’un revêtement extérieur type bardage, alors qu’une construction maçonnée utilise plutôt un enduit. Ou encore, le bois peut permettre une utilisation plus souple des matériaux (des baies sur mesure ou des lignes courbes) alors que les constructions maçonnées sont plus limitées. Enfin, le bois est peut être intrinsèquement plus cher que les constructions maçonnées, mais sa mise en œuvre plus rapide diminue les coûts de construction. De ce fait, comparer les matériaux hors de leur contexte général est peu pertinent.

Déplacez-vous sur les chantiers pour constater la qualité des réalisations et obtenir des retours d’expériences de la part des anciens clients et exigez une attestation de leur assurance décennale.
Les délais matériaux isolant Peu importe les matériaux choisis, une maison met en général entre 6 et 12 mois à se construire en fonction du nombre d’intervenants sur le chantier (délais de coordination). Certaines techniques comme l’ossature bois sont souvent vantées comme étant plus rapides, mais ce n’est pas forcément significatif. En effet, si la mise hors d’eau/hors d’air d’une maison à ossature bois est assez spectaculaire (quelques jours seulement), il ne faut pas oublier que tous les éléments (murs…) ont été préfabriqués en atelier. Ce travail “invisible” a aussi pris du temps… Ce qui prend surtout du temps sur un chantier, c’est bien la gestion des ressources humaines (nombre d’intervenants, disponibilité des intervenants, coordination).
Conclusion: Quel matériau choisir pour sa maison?

Il apparait que tous les matériaux possèdent des avantages et des inconvénients, que reste-t-il alors de ce comparatif? On note tout d’abord que tous les matériaux ont les qualités mécaniques nécessaires à la bonne stabilité de la maison (vigilance concernant l’acier sur le comportement au feu). Ensuite, le meilleur écobilan revient probablement à la maison à ossature bois (peu de matières premières nécessaires, ressources naturelles et renouvelables). Par contre, il faudra porter une attention particulière au confort d’été (faible inertie thermique). Pour les matériaux traditionnels (parpaings et briques), une isolation extérieure permet d’utiliser leur plein potentiel (forte inertie thermique). Pour les solutions monomur, le surcoût du matériau porteur doit être compensé par une absence d’isolation complémentaire. A ce titre, le béton cellulaire (R= 5.5 m².K/W pour un bloc de 50 cm d’épaisseur) reste meilleur isolant thermique que la brique monomur. Il permet donc de respecter plus facilement les exigences de la RT 2012 (Rmur autour de 6m².K/W) tout en conservant un écobilan favorable. Attention toutefois, une pose de qualité est indispensable. La technique des madriers de bois reste accessible en auto-construction, mais nécessite une étude thermique approfondie pour atteindre les performances d’isolation demandées. Au niveau du prix, il n’y a probablement pas de différences significatives entre tous ces modes constructifs. Dans tous les cas, il convient de construire une maison compacte (pour éviter la surconsommation de matières premières) et bioclimatique (pour les économies d’énergie). Enfin, si le choix des matériaux est important, celui du professionnel qui va suivre votre chantier l’est tout autant.

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